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Passionné de culture, musique, cinéma, sport... Bref un peu à la vie en général. J'essaie de mettre en valeur le côté positif des petites choses de notre monde un peu trop cynique.

samedi 2 mars 2013

La rigueur en 140 caractères

Y'en a-t-il parmi vous qui n'ont pas de compte Twitter ou Facebook? Sûrement pas, car si tel était le cas vous ne seriez probablement pas en train de me lire. 

Tout comme moi, à un moment donné ou un autre, vous avez été témoin de fautes encore plus absurdes que surprenantes lors de la lecture d'un «statut-tweet» d'un de vos amis.  

Tiens, faisons un exercice...

Juste pour le plaisir et histoire de prouver ce que j'avance. Je vais en trouver un sur mon fil de nouvelle Facebook de ce pas. 

Voyons...

Hum hum, intéressant... Mais pas assez. 

Vulgaire pour rien... Je passe.

Ah! Voilà une perle. Vous allez adorer...


Faith DesFault (Nom fictif)
Sunday near St-Jean-sur-Richelieu via mobile
Eyyy les tâtas qui pense que c une perruque ... Si s'en était une jlaurais dit Ben open pi Jlai déjà fait souvent mais NON la c mes cheveux a moi !


Il faut comprendre que mon objectif n'est pas de me prendre pour Guy Bertrand, l'ayatollah de la langue française, en corrigeant les fautes de tout un chacun sur les réseaux sociaux. Pire encore, de placer les écrits d'une personne dans ce blogue de manière délibérée en la ridiculisant du même coup... Ce n'est pas mon style.  

Des fautes, on en fait tous. Moi le premier.

Cependant, je vous confirme qu'il s'agit bel et bien d'un statut que j'ai «copié-collé» de la page d'un ami Facebook.

Ce que je n'arrive pas à comprendre: Dans une société, où nous sommes plus fiers pète les uns que les autres, comment se peut-il qu'on ne prenne même pas la peine d'essayer de se corriger?

Gang... Ne trouvez-vous pas que notre langue française est assez mal en point comme ça?

Qui plus est, je fais partie de ce groupe qui est tanné d'entendre les «Boomers» et les «X» casser du sucre sur le dos de ma génération, sois-disant parce que nous n'avons plus le sens du devoir, des responsabilités, de la coopération, etc... Je m'arrête ici. 

Toujours selon ces deux clans nostalgiques, que je respecte beaucoup malgré ce qu'ils peuvent bien penser, nous ne serions plus capable d'écrire leur langue chérie à cause des réseaux sociaux. 

Le plus triste quand je lis des statuts comme vous avez lu plus haut, c'est que je pense à mon père en disant: "Hé misère... Y peut bien avoir raison.¨

Pourtant, il y a plusieurs illustrations qui prouvent que tous les maux de notre génération ne proviennent pas des méchants réseaux sociaux.

Par-exemple, allez lire la chronique de David Desjardins dans Le Devoir du 2 mars dernier.

Pas tout de suite niaiseux... Après. 

J'achève de toute façon.

Pour revenir à nos moutons, je crois que nous devons faire un petit effort afin de bien écrire les messages qui se retrouvent à la vue de tous. 

Ne serait-ce que pour le respect de notre patrimoine et aussi pour notre honneur personnel. 

Pensez-y bien... 

Nos statuts et messages ne sont-ils pas une projection de notre image? Sortiriez-vous dans des lieux publics sans être propre et bien soigné?

C'est bien ce que je pensais. 

Je termine en répondant de façon personnelle à ceux qui jettent le blâme sur les réseaux sociaux. Je n'ai jamais autant pris conscience de mes écrits depuis que j'utilise Twitter et Facebook. 

Je me relis et je cherche les mots desquels je doute dans les nombreux dictionnaires en ligne et Wikipédia disponibles gratuitement sur la toile. J'apprécie aussi lorsqu'un ami me signale une faute qui m'aurait échappé. 

Et ce, même si l'ami en profite un peu pour se moquer de moi au passage... N'est-ce pas Maxime. 

Pour le reste, je me dis que si nous ne sommes pas capables de rigueur pour des textes de 140 caractères, notre génération va mal en citron.





jeudi 21 février 2013

Trousse d'urgence pour l'urgence...

Je n'ai pas écrit depuis un petit bout... Veuillez m'excuser, chaque année, je suis victime d'une petite dépression post St-Valentin. Malheureusement, cette année ne fut pas différente des autres. 

Samedi dernier, je me relevais de ma semaine à pester contre mon célibat en entreprenant la journée à rendre service à ma petite maman dans la préparation de son tournoi de volleyball.

Ma tâche semblait pourtant simple, je devais sabler des morceaux de verre qui lui serviraient ensuite de trophées en forme d'inukshuk. Bien préparé, avec quelques podcasts dans mon Ipod, j'étais prêt à sabler quelques heures. 

Nop... La vie avait d'autres plans pour moi. Au même moment où je riais à l'écoute de la chronique de Fred Savard à l'émission «La soirée est [encore] jeune», mon pouce décida de vérifier ce qui se produit lorsqu'on utilise une sableuse en marche pour se gratter. Réponse: on se gratte jusqu'à l'os. 

OUCH!

Un pouce sa saigne en t****narnak. 

Pas le choix; direction urgence de l'hôpital de St-Jean-sur-Richelieu. Ça prend des points. 

J'appréhendais tellement le temps que je perdrais à poireauter assis parmi les autres patients. On s'entend pour dire qu'avec une telle coupure on n'est vraiment pas à l'article de la mort. 

Temps d'attente anticipé? 8 heures. 

Je décidai de prendre ce temps et d'en faire bon usage... tant qu'à attendre anyway. Si vous ne le saviez pas encore, je suis un grand optimiste. 

So, why the fuck not? De toute façon, je n'avais pas encore trouvé de sujet sur lequel écrire cette semaine.

Merci à mon TDAH.

Me voilà donc débarqué à l'hosto. Sans grande surprise, je réalise que nous sommes une tralée ayant RSVP à ce petit party improvisé. 

Première étape: la salle de triage. 

Je prends mon numéro... 22. Le cadran indique...17. Ce sera long. Un peu comme au restaurant  lorsqu'on a choisi notre repas depuis 10 minutes et que le serveur ne vient pas prendre notre commande. On se sent alors dans une zone grise, à l'extérieur du système... AAARGH!

Je me rappelle. OPTIMISME. 

DONG... 22.  Yay! C'est à mon tour d'aller voir l'infirmier.

- Ouin y'a du monde au party aujourd'hui.
- Assoyez-vous sur cette chaise. Qu'est-ce qui vous est arrivé?
- J'me suis gratté avec une sableuse.
- Pas fort... Ça va prendre des points.
- Pensez-vous qu'il y a pas mal d'attente?
- Pour des points, on a entre 8 et 12 heures et comme je dis toujours, je ne suis pas devin. Reprenez votre carte. Vous pouvez allez voir la responsable pour remplir vos papiers dans la salle d'attente.

Bon, c'était sympathique que j'me dis... Me voilà de retour dans le lounge des éclopés. 

Deuxième étape: la salle d'attente.

Après les formalités d'usages, je me dirige vers un siège libre, au même moment, je vois un papa arriver en catastrophe avec son bébé dans une poussette. Je pouvais lire la peur dans son visage. Je me suis tout de suite offert pour tenir la porte du bureau de la salle de triage. Je ne l'ai pas revu à la sortie et je sais qu'ils n'ont pas attendu. Le tri ça à vraiment son utilité.

Dans la salle, je me suis installé confortablement... mon pouce ne me faisait plus souffir et l'infirmier avait fait un super pansement. C'est donc sans inquiétude que j'ai utilisé les 4 heures suivantes à:
  1. Écouter la fin du podcast de «La soirée est [encore] jeune» et celui de «Médium/Large» de la veille.
  2. Regarder une demie heure de nouvelle sur le canal LCN du téléviseur de la salle d'urgence.
  3. Lire une centaine de pages du livre Sur la route de Jack Kerouac.
  4. Écrire quelques lignes qui ont surgi de mes pensées.
  5. Échanger avec une dame qui s'était fait mordre par un chien et un petit bonhomme qui jouait à la cachette avec sa maman (et possiblement tout le monde de la salle).
Ma question est la suivante: À quand un réseau WIFI dans les salles d'attente? J'ai la sincère conviction qu'en 2013, c'est un incontournable.

Puis tout à coup, la voix du haut-parleur annonce... Alexandre ... ... salle 6... Côté... ... salle 6.

J'ai salué mes "amis" en leur souhaitant bonne chance. Puis en me levant, j'ai fait semblant, pour ne pas le décevoir, de ne pas voir le petit garçon caché sous une civière qui me souriait. Il m'aura transmis son sourire tout en me dirigeant vers la salle.

Troisième étape: le docteur.

Dans la salle, il y a le mobilier habituel; une chaise au coin et le lit du patient. Sur les étagères est disposé le nécessaire pour les chirurgies locales et autres interventions. Néanmoins, on sent qu'on ne va pas trop s'éterniser.

L'infirmier arrive pour me parler (un autre) tout sourire, il a vraiment l'air affable. De façon concise et sans que je puisse avoir d'interrogation, il me pose les questions d'usages. Il quitte en me disant que le médecin arrivera sous peu.

Pas le temps de commencer une nouvelle chanson dans mon Ipod que le doc se présente. Une description s'impose ici. Même pas 30 ans, une barbe de deux jours, grand et il a plus des airs d'un joueur d'hockey que d'un joueur d'échec... Pour tout dire, il me faisait un peu chier celui-là. Pour en rajouter... il est gentil.

M'explique la procédure et quitte.

Au même moment où j'imagine que le petit maudit [lire docteur] doit avoir pas mal de succès dans les vrais lounges de l'avenue Mont-Royal... Une externe se présente.

- Bonjour Monsieur Turgeon-Côté, je vous poserai quelques questions.
- Allez-y je ne suis pas pressé [comprendre qu'elle était encore plus belle que l'autre].

Puis le docteur réapparait, en me tapant sur l'épaule, il me lance : "Tu dois être déçu que je revienne hein?"

Ils ont procédé très rapidement. Pendant un instant j'étais quasiment fier de participer à l'enseignement d'une future médecin. En dix minutes c'était terminé et j'obtenais mon congé.

Bien franchement, lorsque préparé je ne vois pas pourquoi faire tant de cas de l'attente à l'urgence. Si vraiment notre état est critique, nous n'attendrons pas.

Et en toute honnêteté, j'espère toujours devoir attendre, cela signifie dans 99%* des cas que rien n'est grave. Il ne suffit d'avoir qu'une «trousse d'urgence pour l'urgence» à portée de main.


 Trousse d'urgence pour l'urgence


*Statistique métaphorique et aucunement vérifiée


vendredi 8 février 2013

L'amour au temps des réseaux sociaux...

La St-Valentin arrive la semaine prochaine. Habituellement, je déteste cette période de l'année car, depuis voilà déjà un bon bout, je suis sans Valentine. Malheureusement, cette année n'est pas différente des autres.

Cependant, c'est à la lecture, pour le moins triste, d'un article paru dans L'Express que l'urgence d'écrire m'est apparue. On y parlait d'infidélité comme étant une banale partie de la vie en couple. Cela m'a déçu et j'ai eu envie d'élaborer sur le plaisir d'être amoureux. 

Détrompez-vous, je ne suis pas un fervent défenseur de cette fête devenue trop superficielle. À l'image de Noël et Halloween, je crois que la St-Valentin est surtout une journée servant à faire les choux gras de commerçants et restaurateurs qui n'ont que faire du partage d'amour, à moins que ce partage n'engendre un peu plus de dollars dans leur tiroir-caisse. Je m'arrête ici... Car je deviens cynique et c'est justement le contraire de mon intention.

Cette semaine, un de mes frères me faisait remarquer qu'avec l'avènement des réseaux sociaux, tels Facebook et Twitter, notre relation avec le coup de foudre est en quelque sorte biaisée. Quand on y pense, quelle est la première chose que nous faisons à la suite d'une rencontre avec quelqu'un chez qui ça ¨clique¨? Soit on le ou la «google» ou encore on l'ajoute sur Facebook. Non non... Ne me traitez pas de rabat-joie, on le fait tous, moi compris. 

Malheureusement, dans ces circonstances, on se voit témoin de la vie de cette personne bien avant que cette dernière ne nous y invite. Souvent, on ne s'en rend même pas compte. Il est vrai qu'à l'occasion ceci confirme notre intérêt pour l'autre... mais n'est-ce pas un peu comme piper les dés? Ne devrions nous pas laisser la vie suivre son cours? 

Pour ma part, j'aime penser que la vie est parsemée d'heureux hasards ça et là qui ne demandent que notre attention. Oui, je suis naïf.

Peut-être bien, mais je trouve qu'il n'y a pas de sentiments plus euphorisant que celui de tomber amoureux. C'est vraiment comme se lancer dans le vide, c'est aussi apeurant qu'enivrant. On est là, juché tout en haut d'un précipice, le sourire au visage et la foi dans les yeux, on ne peut voir ce qui nous attend en bas... On saute en criant «Geronimo» et en espérant... Soudain, on flotte sur un nuage... D'autres fois, on se ramasse en bas pis ça fait mal en crisse. Mais on se relève, car la beauté c'est qu'on se relève toujours.

À une époque où l'amour se consomme au même titre qu'un BigMac et dans une société où le «je veux tout et tout de suite» prévaut, il est important de se rappeler que la vie est une construction de petits moments joyeux qu'on saisit au passage. L'objectif est d'en vivre le plus possible. Entre vous et moi, ils sont à la portée de tous, il suffit d'être dans le moment et d'en profiter.



Baiser de l'hôtel de Ville - Robert Doisneau

jeudi 31 janvier 2013

Lettre nihiliste à sa patrie

J'ai tant souhaité que nos bagarres changent notre sort   
d'avoir le même impact que les soixante-huitards 
Nous sommes un collectif immobile victime de peur 
Ignorant, nous avons bafoué l'idéalisme des rêveurs   


Nos pères, jadis engagés, aujourd'hui nous laissent tomber 
Le chacun pour soi se veut la meilleur chance de gagner

Un bonheur que nous nous sommes faits imposer
Pour que seul un petit groupe puisse y accéder    

Trop d'artistes encagés qui portent le poids de notre passé

Sont isolés en marge de notre communauté 
Comme une boussole brisée au mains d'un capitaine désemparé
Je cherche ma route au milieu d'un océan déchaîné

Seul au monde, les mouvements de ma liberté
Confondes les chaînes de notre société
Hiérarchisé, le dictât est celui du conformisme
Des enfants rois endoctrinés par les publicistes

C'est bien comme ça qu'on forge la person
nalité

D'une armée de clones dépossédée et aveuglée
Toute une génération de soldat est condamnée
Au génocide culturel de l'état fleurdelisé 

Perdu ici en mon pays, je constate les divisions de nos partis

J'assiste en nihiliste cachant ma peine d'idéaliste
C'est sans excuse et avec beaucoup de supplice
Que je participe sans un calice, au triste suicide québéquéciste



         Une étudiante face à la police devant le lieu où le parti libéral du Québec tient son congrès annuel, le 5 mai 2012 à Victoriaville.                              



mardi 29 janvier 2013

Réalité ou fiction.

Avez-vous regardé 19-2, hier? De mon côté, j'ai abordé cette soirée en ne sachant trop à quoi m'attendre.... Et wow! Quel épisode incroyable! Je n'ai jamais vécu de telles émotions en regardant la télévision.

Pour être honnête, je craignais un possible dérapage avec ce sujet on ne peut plus délicat, c'est-à-dire un épisode traitant de faits bien réels qui nous ont laissé des cicatrices sociales encore bien visibles, celles de Dawson et Polytechnique.

J'imagine qu'avec la réalisation du film "Les 7 jours du talion" par Podz, certains ont pu avoir peur d'un excès de violence dans des scènes [de 19-2] déjà horribles; scènes d'autant plus inspirées de notre réalité.

Tout d'abord, le choix de Podz d'utiliser un seul plan-séquence de près de 15 minutes fut génial. Pour la première fois, je me suis vraiment sentie dans la peau des policiers, j'étais avec eux dans cet enfer. Podz a été en mesure de nous faire vivre la peur, la détresse l'impuissance et le courage des personnages qui toutefois semblaient pris au dépourvu. Qui plus est, je crois qu'il est normal d'être désorienté dans une situation aussi anormale comme celle-là. Je félicite aussi l'équipe d'acteurs d'avoir joué avec sobriété et réalisme des scènes qui pourtant sont remplies de violence gratuite.

Des émotions comme nous l'a fait vivre 19-2 sont importante pour le développement de notre avenir collectif. Il est important de s'arrêter quelques fois et de se regarder tous ensemble afin de tenter de comprendre l'incompréhensible. Malgré l'absence de réponse, nous avons tous, un petit peu, pris conscience de la fragilité de la vie qui nous entoure.

  http://www.tou.tv/19-2/S02E01

vendredi 25 janvier 2013

Si j'étais Carey Price

Pour les amateurs du Canadien de Montréal, la discussion de l'heure autour des machines à café est sans aucun doute l'impasse dans les discussions contractuelles entre le défenseur PK Subban et le directeur général Marc Bergevin. Plusieurs spécialistes ont indiqué qu'il s'agissait surtout d'un combat de coqs. Je ne pense pas.

Certainement que PK Subban souffre d'un égo démesuré. Je m'explique: comment quelqu'un de sensé peut dire non [et même refuser les conseils de son agent Don Meehan*] à la signature d'un contrat de deux ans évalué entre 5 et 6 millions par saison? Il me semble que lorsqu'on est conscient que tout cet argent nous est accessible en grande partie grâce aux fans qui consomment les produits reliés au hockey, on a le devoir de relativiser sa situation personnelle, du moins si nous avons à coeur autrui. 

Je ne suis pas le plus grand amateur de PK Subban, mais je reconnais que le "kid" a un talent exceptionnel et qu'il pourrait un jour être un véritable leader tant sur la glace qu'à l'extérieur, tant chez ses coéquipiers qu'avec les amateurs. Ce jour ne sera pas dans les deux prochaines saisons. Il me semble que de bouder ses coéquipiers n'est pas un exemple de leadership... Je me demande ce que pense Andrei Markov à ce sujet... Mais je m'éloigne. 

Plus les jours passent et plus il doit y avoir du ressentiment envers PK dans le vestiaire du canadien. Bien sûr, les joueurs ne le diront jamais, ils repousseront les questions et je ferais la même chose. Cependant, lentement ce ressentiment s'installe. Il est latent et virulent.

Une question s'impose. Que pense Carey Price de tout ça? Après tout, il a dû lui aussi passer par un contrat transitoire avant de toucher le gros lot. Durant cette transition, il a fait quelques erreurs dues à son manque de maturité. Dernièrement, il semble conscient de ses responsabilités qui viennent avec la job (des fois heureuses et d'autres un peu moins). Bref, il fait avec. Donc plus le temps passe et plus il sera difficile pour PK Subban de justifier son absence à ses coéquipiers qui se saignent littéralement soir après soir. Imaginez maintenant de le justifier aux amateurs! 

Si j'étais Carey Price, je donnerais un coup de téléphone à mon ¨chum" avant qu'il ne soit trop tard. Bien sûr, si Carey passe par-dessus le pied-de-nez de ce dernier.



*selon Guy Carbonneau à l'Antichambre